Financement de la Banque Mondiale aux Activités Génératrices de Revenus du secteur de l’environnement
La Banque Mondiale finance les micros projets et les activités génératrices de revenus du secteur de l’environnement dans notre pays. La cérémonie qui a consacré la remise officielle de chèque aux bénéficiaires s’est déroulée sous l’égide du Directeur de Cabinet du Ministère de l’Environnement de l’Habitat et de l’Urbanisme, l’Agence Béninoise pour l’Environnement marque ainsi la relance des activités du secteur.
| Date de publication | 17/09/2012 |
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| Contributeur | AKPONA Hugues |
| Couverture géographique | Bénin |
| Mots-clefs | environnement, activité génératrice de revenus, AGR, biodiversité, marine, côtière |
Les activités génératrices de revenus (AGR) sont financées pour accompagner les communautés à la base. L’Agence Béninoise pour l’Environnement s’approprie cette mission et associe la Banque Mondiale et d’autres bailleurs de fonds. C’est un nouvel élan pour développer l’écosystème et l’éco-tourisme dans nos communes. Le message a reçu l’adhésion collective des autorités communales qui n’ont pas ménagé leurs efforts pour la bonne marche du projet.
La politique nationale en matière d’environnement doit devenir une véritable force motrice dans le processus de développement durable.
Pour le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Environnement, « des aires de productions de la biodiversité ont été créés par l’Agence Béninoise de l’Environnement à travers le projet de gestion communautaire de la biodiversité marine et côtière. L’objectif de ces aires est de mettre en place des espaces qui garantissent la pérennité des actions de sauvegarde, avec l’implication et la forte participation des communautés riveraines des dites ressources biologiques. Pour s’assurer une pérennité des dites aires des unités de gestion ont été crées et devront accompagner les communautés, dans cette accompagnement il a été constaté qu’un accompagnement des communautés est indispensable en vue de leurs faire des activités vertes qui menacent moins les ressources naturelles. »
20 millions environs sont allés à la commune d’Abomey-Calavi, aux Agué-Agué également. Des évaluations seront faites régulièrement. En cas de mauvaise gestion, les financements seront immédiatement interrompus par la Banque Mondiale.
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