Etat actuel de la Pisciculture dans la ville de Kisangani

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Après analyse des données récoltées, les  sources principales d’approvisionnement en alevins sont le fleuve Congo (par les pêcheurs Genia) et la rivière Tshopo. La supplémentation alimentaire n’est ni régulière ni quantifiée. Seuls quelques rares exploitants de Makiso et de la commune  Kisangani utilisent les déchets de la volaille ou du petit bétail pour la fertilisation des étangs.

Les résultats obtenus ont montré qu’il existe 338 étangs actifs, 142 étangs inactifs et 98 pisciculteurs dans la ville de Kisangani. Nous avons observé une régression des étangs actifs, inactifs et des pisciculteurs par rapport à l’année 1999, il y a lieu de parler d’une régression dans les activités piscicoles à Kisangani. Cette régression peut se justifier par le manque de motivation ou de financement. A la période qui suivait la fin de la rébellion, la FAO et le PAM appuyait les pisciculteurs, ce qui leur donnait de plus en plus l’envie de pratiquer cette activité.