Axe stratégique 3: Facilitation et renforcement de la coopération scientifique et technique

Au Burundi, il a été constaté qu’il n’existe pas de réseaux opérationnels dans le domaine d’échange d’informations sur la biodiversité. La création des réseaux au pays constituerait un cadre d’échange d’informations et d’expériences. Le premier réseau devrait s’édifier au sein même des PFIs. Le CHM-Burundais devrait organiser des réunions périodiques d’échange d’expérience des PFIs. Des formations (cadre de discussion) pour les ONG  existent déjà dans le domaine de protection de l’environnement. Le CHM-Burundais devrait s’y associer et y apporter des éléments de biodiversité. Le CHM-Burundais devrait également jouer le rôle du premier plan dans la création du réseau national des chercheurs. Il devrait également susciter la création d’un réseau des responsables des aires protégées et participer dans le renforcement du réseau des clubs environnements.Au niveau international, le CHMs africains devraient désormais oeuvrer en réseau bien opérationnel. Le transfert de la technologique et la coopération technologique font également partie de la mission du CHM. Ce dernier doit catalyser de partenariat entre les institutions nationales et celles étrangères. Les trois Convention de Rio et autres traités environnementaux oeuvrent sur le même terrain et protègent tous les ressources naturelles. Une coopération entre eux est primordial et permettra de valoriser les acquis et d’éviter les chevauchements et la perte d’énergie.