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Nom de l’Institution

Historique

Domaines d’intervention, Missions

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Office Burundais pour la Protection de l’Environnement (OBPE)

L’OBPE a été créé par décret N° 100/240 du 29 Octobre 2014 portant création, missions, organisation et fonctionnement de l’Office. Il a successivement été Institut National pour la Conservation de la Nature par décret N° 100/47 du 03 Mars 1980 portant création et organisation de l’Institut National pour la Conservation de la Nature «INCN» et l’Institut National pour l’Environnement et la Conservation de la Nature (INECN) par le décret du 05 Octobre 1989.  

- Veiller au respect du Code de l’Eau, du Code forestier, du Code de l’environnement et autres textes en rapport avec la protection de  l’environnement;
- Mettre en place et faire le suivi des mécanismes de commerce et d’échanges internationaux des espèces de faune et de flore; 
- Faire respecter les normes environnementales et proposer toutes les mesures de sauvegarde et de protection de la nature; 
- Assurer le suivi et l’évaluation des programmes de développement pour s’assurer du respect des normes environnementales dans la planification et l’exécution de tous les projets de développement, susceptibles d’avoir un impact négatif sur l’environnement; 
- Veiller à la mise en œuvre des obligations découlant des Conventions et Accords internationaux relatifs à l’environnement auxquels le Burundi est partie; 
- Identifier et proposer de nouvelles Aires à protéger et d’autres zones riches en biodiversité nécessitant des mesures spéciales de protection; 
- Entreprendre et encourager les recherches et les mesures d’accompagnement pour le maintien de la diversité biologique; 
- Etablir les normes de qualité des essences forestières; 
- Mettre en place des mécanismes d’atténuation et adaptation aux changements climatiques, etc. 

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Institut des Sciences Agronomiques du Burundi (ISABU)

L'ISABU a été fondé en 1962 en remplacement de l' Institut National des Etudes Agronomiques (INEAC) qui était créé en 1929 et est placé sous la tutelle administrative du Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage.

L’ISABU est l'un des instituts de recherche sur l'agro-biodiversité les plus importants du Burundi. Cet institut comprend deux départements techniques qui sont le Département de Production et le Département des Études Environnementales et des Systèmes de Production. Il a pour mission de promouvoir le développement scientifique de l’agriculture et de l’élevage au Burundi. Il mène des études, des recherches et des expérimentations visant le développement de l’agriculture et de l’élevage en général, afin de contribuer à la croissance économique du pays, notamment dans l’amélioration des revenus des populations rurales, tout en assurant une gestion prudente des ressources naturelles.

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Université du Burundi

L’Université du Burundi a commencé par la faculté des sciences au cours de l'Année Académique 1961-1962 dans le cadre du centre universitaire d'USUMBURA. Depuis lors la faculté des sciences a organisé progressivement ses enseignements à travers le premier cycle et le second cycle. Elle a été ensuite organisée en deux sections à savoir la section dite «Sciences» et la section dite «Polytechnique».  En dessous de la section, nous retrouvons les départements qui sont spécialisés dans une discipline donnée. 

A l'Université du Burundi, la biodiversité sauvage est un centre d'intérêt pour l'enseignement et la recherche en biodiversité se fait essentiellement au Département de Biologie de la Faculté des Sciences et à l’Institut de Pédagogie Appliquée (IPA). Les domaines actuels de recherche touchent plus particulièrement la composition et la répartition de la biodiversité végétale dans les espaces protégés ou non, où la flore sauvage est encore bien représentée. Le Département de Biologie possède un herbarium important. En ce qui concerne la faune, les travaux en cours portent sur l'ichthyofaune dans les lacs et les rivières burundais. La recherche sur l’agro biodiversité est suivie à la Faculté d'Agronomie et de Bio-Ingénierie (FABI).

Cette faculté fait la recherche variétale et la production des semences pré-base à partir de  semences souches. A partir de ces pré-base, centres semenciers nationaux font la production des semences de base qui servent de matériel pour certaines ONGs et privés multiplicateurs pour la production des semences commerciales utilisées par les exploitants du monde rural.

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Université de Ngozi

L’Université de Ngozi fut créée le 17 avril 1999 et agréée le 7 mai 1999. À l’époque, le système éducatif burundais connaissait un accroissement important des effectifs de l’enseignement secondaire et la situation risquait de déboucher sur une impasse si rien n’était fait au niveau de l’enseignement supérieur. La création de l’université de Ngozi est alors venue appuyer et désengorger la seule université publique qui existait jusque-là au Burundi, et qui était déjà en sur-effectifs (7000 étudiants pour 4000 places en 1999).

L’objectif était de soutenir le développement de l’enseignement supérieur dans un pays qui ne comptait alors qu’un étudiant pour 1000 habitants, un chiffre très en-dessous de la déjà faible moyenne africaine.

C'est à travers sa faculté d’Agronomie que l'Université de Ngozi intervient dans la recherche sur l’agro biodiversité en produisant des semences sélectionnées qui sont diffusées aux exploitants comme le fait la FABI de l’Université du Burundi.

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Institut de Recherche Agronomique et Zootechnique (IRAZ).

L’IRAZ fait partie de la Communauté Économique des Pays des Grands Lacs (CEPGL) qui comprend le Burundi, la République Démocratique du Congo et le Rwanda. Il a pour mission d’assurer la sécurité alimentaire par le biais de la recherche agronomique et zootechnique. 

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Centre National de Technologie Alimentaire (CNTA)

Créé par décret présidentiel n° 100/075 du 21 Mai 1993, le CNTA a été mis en place en tant qu' institution de recherche pour répondre aux besoins cruciaux en technologies appropriées de traitement post-récolte, de conservation et de transformation des produits agroalimentaires qui constituait jusqu'à ce jour un goulot d'étranglement de développement du secteur agricole.

Le Centre National des Technologies Alimentaires (CNTA) est également placé sous la tutelle administrative du Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage et a pour mission d’encourager la recherche et le développement des technologies alimentaires et de faire connaître ces dernières aux petites entreprises. C’est donc un centre chargé d’assurer le transfert des résultats de la recherche des institutions scientifiques vers les utilisateurs, jouant ainsi le rôle sensible de relais et d’agent de communication entre les deux secteurs (recherche et utilisateurs des résultats de la recherche). Concrètement, les missions du CNTA sont les suivantes: 
- Promouvoir la recherche-développement dans le domaine alimentaire; 
- Valoriser les produits agricoles et animales;

- Promouvoir lesmicro-entreprises et les PME agro-alimentaires par le transfert, la diffusion et la vulgarisation des technologies issues de la recherche-développement.

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Office du Thé du Burundi (OTB)

L’OTB est une société publique créée en 1971 par le décret présidentiel n° 1/79 du 30/07/1971. Elle est régie actuellement par le décret n° 100/157 du 5 Septembre 1997. Il est divisé en 6 unités à savoir le siège situé à Bujumbura et les complexes théicoles de Teza, Rwegura, Tora, Ijenda et de Buhoro et est placé sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage.

L'OTB a pour rôle promouvoir la théiculture au Burundi et partant, de contribuer à l’apport en devises et de procurer des revenus aux théiculteurs. A travers ses départements agronomique, industriel, commercial et financier, le siège appuie les complexes théicoles pour ce qui concerne les questions techniques, commerciales, administratives et financières. Au niveau de la recherche, c’est l’Institut des Sciences Agronomiques du Burundi (ISABU) qui intervient dans la filière.

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Compagnie de Gérence du Coton (COGERCO)

La COGERCO a été créée en 1947 dans le but de promouvoir et d'organiser la culture du coton dans le cadre du Comité de gestion des réserves de coton.

Ces fonctions comprennent: 
- Supervision des producteurs (vulgarisation et appui conseil), 
- Fourniture d'intrants coton et fixation des prix d'entrée, 
- Octroi de crédit pour les intrants, 
- Commercialisation primaire (y compris la fixation du prix d'achat du coton-graine) et le transport du coton graine des marchés de coton à l'usine, 
- Egrenage du coton graine et le classement de la fibre, 
- Commercialisation de la fibre et de la graine de pétrole sur les marchés locaux et d'exportation.

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Société Rizicole de Développement de l’Imbo (SRDI)

La SRD Imbo s’occupe de toute la chaîne, de la production à la commercialisation du riz:encadrement des riziculteurs, collecte du paddy, usinage et commercialisation. La Riziculture irriguée est pratiqué dans la plaine de l’Imbo sur une superficie de 1695.75 Ha.

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Office d’Huile de Palme (OHP)

L'Office de l’Huile de Palme s'occupe de la filière palmier à huile. La culture du Palmier à huile est essentiellement pratiquée au niveau de la commune Rumonge et quelque peu dans les communes Burambi et Buyengero dans la province de Bururi.  Deux variétés de palmier à huile sont cultivées: Dura et Tenera.

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Autorité de Régulation de la Filière Café (ARFIC)

L’Autorité de Régulation de la Filière Café du Burundi (ARFIC) est un Etablissement Public à Caractère Administratif (EPA) créé par le décret n° 100/99 du 01er juin 2009 portant Création, Missions, Organisation et Fonctionnement de l’Autorité de Régulation de la Filière Café du Burundi. L'ARFIC a été créée dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de désengagement de l’Etat dans la filière café et cette stratégie consiste à la mise en place d’un «Dispositif Institutionnel et Régulatoire» de la filière café en remplacement de l’Office du Café du Burundi «OCIBU».

L'ARFIC est notamment chargée: 
- de contribuer à la formulation de la politique et de la stratégie de l’industrie en matière de production, de traitement, de commercialisation, de recherche et de formation;
- d’octroyer des licences d’opération destinées aux intervenants dans la filière café;
- de délivrer des certificats d’origine et de qualité pour l’exportation;
- d’élaborer, de valider et de suivre le respect des normes de qualité en collaboration avec le Bureau Burundais de Normalisation;
- de représenter le Burundi aux discussions et négociations des traités, des conventions et règlements internationaux relatifs au café ainsi qu’aux conférences régionales et internationales de promotion du café;
- d’assurer le contrôle de la qualité et de défendre l’origine du Café du Burundi;
- de suivre les tendances de la production nationale et internationale;
- de suivre des mouvements du marché international;
- de gérer les moyens financiers destinés à la recherche caféicole, etc. 

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Société Sucrière du Moso (SOSUMO)

La SOSUMO a été créée le 13/07/1982 sous forme d’une Société d’Economie Mixte de Droit Privé (S.A.R.L).

La SOSUMO est une société de culture de canne à sucre, de production et de commercialisation du sucre. Le projet sucrier du Moso a été inscrit au 3ème plan quinquennal de développement économique et social du Burundi au début des années 70. L’objectif était de:
- Faire face à la demande croissante de sucre dans le pays;
- Favoriser le développement économique du Sud-Est; 
- Mobiliser la main d’œuvre locale de la région;
- Economiser des devises en évitant l’importation du sucre.

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Société de Gestion des Stations de Lavage (SOGESTAL)

Les SOGESTALs sont des sociétés à capital mixte, cinq  ont été crées en 1991 pour gérer les multiples usines (133) de dépulpage lavage de café implantées par l’Etat à travers tout le pays là où il y avait une concentration de plantations caféicoles.

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La Direction de l'Elevage du Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage

La Direction Générale de l’Elevage a pour missions de :
- Elaborer la politique nationale en matière d’élevage ;
- Moderniser les méthodes et techniques d’intrants d’élevage et les rendre disponibles pour la vulgarisation ;
- Elaborer la législation zoo-sanitaire ;
- Promouvoir les productions animales appropriées ;
- Promouvoir et encadrer des structures de production d’intrants d’élevage ;
- Appuyer la Direction Générale de la Mobilisation pour l’Auto développement et la Vulgarisation Agricole dans le perfectionnement des techniciens de terrain et dans la disponibilisation des services spécialisés.
- Elaborer et exécuter les programmes/ budgets de la Direction Générale d’Elevage.

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Centre National d’Insémination Artificielle (CNIA)

Il s'agit d'un organe de l’Etat chargé du programme national de l’insémination artificielle. Il reçoit régulièrement des gènes provenant de plusieurs pays européens. Les ressources génétiques bovines seraient encore de nos jours majoritairement représentées par la race locale «Ankolé». Dotée d’une bonne rusticité, l’Ankolé présente des paramètres de reproduction modestes et de faibles performances de production. Plusieurs initiatives ont été engagées pour son amélioration génétique notamment l’introduction des races dites «exotiques» (Frisonne, Jersey, Brune de Suisse, etc.) pour le lait, l’introduction de la race bovine Sahiwal et la race caprine boer pour la viande.

La Direction des Eaux, de la Pêche et de l'Aquaculture

La Direction des Eaux, de la Pêche et de l’Aquaculture a comme missions de:

- Coordonner et superviser la politique nationale en matière de pêche et d’aquaculture;
- Promouvoir et encadrer les activités de développement de la pêche et de l’aquaculture;
- Elaborer et mettre en application la réglementation de la pêche et de l’aquaculture;
- Participer à l’élaboration et à l’exécution de la politique de gestion de ressource en eau.

Release date 08/01/2018
Contributor Liévin Ndayizeye
Geographical coverage Burundi,